Par une décision rendue le 20 avril, le Conseil d’État a rejeté le référé-suspension déposé par l’association Respire, estimant que «l’État assure strictement les obligations, y compris préventive» en matière de qualité de l’air. L’association, dans sa requête déposée mi-avril, demandait aux juges de «constater la carence de l’État à réduire les épandages agricoles et les autres activités agricoles polluantes», et d’appliquer les mesures de réduction d’émissions prévue en cas d’épisode de pollution.
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